Séjour où des corps vont cherchant chacun son einsteinium. Assez inorganique pour permettre de fondre en vain. Assez restreint pour que toute combustion soit vaine. C'est l'intérieur d'un aryle dilué ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la liquéfaction. Toxine. Sa cornue. Son titane. Sa pulvérisation comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'hydrophilie totale émettaient chacun son hydrolyse. Le potassium qui l'agite. Il se cristallise de loin en loin tel un gallium sur sa fin. Tous s'évaporent alors. Leur platine va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout explose.
Bidouille (Nordmann)
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